Ces brasseurs et ces bières misent sur l’originalité
Le 7 mars dernier, l’épicerie fine parisienne Julhès a convié 11 brasseries à présenter une sélection de leurs bières. Qu’elles soient françaises, belges, tchèques, anglaises ou écossaises, chacune a proposé aux clients un panel de mousses originales. Focus sur 4 entreprises pour Happy Beer Time.
Une bière brassée à Paris
La Parisienne se distingue ainsi par le lieu de production de ses bières, dans Paris – comme son nom l’indique – intra-muros. Quatre bières sont brassées et embouteillées sur place : une blonde (6% d’alcool, malt d’orge Pilsen et trois types de houblons), une rousse (6%, malt d’orge Pilsen, Ruby et Cristal, et houblons Magnum et Saaz), une brune (6%, six types de malts et trois variétés de houblons) et une blanche (6%, malt d’orge Pilsen et froment cru, houblons Magnum et Bramling Cross).
Les super-héros mis à l’honneur
Frogbeer revendique également un positionnement artisanal : « The revolution will be not pasteurized. » L’enseigne de brewpubs FrogPubs s’appuie sur une unité de production externe pour développer l’approvisionnement de ses établissements – dont la plupart disposent d’une micro-brasserie – et s’imposer comme une marque de bière à part entière. Elle réedite sa « Superhero serie », une gamme de six bières : Ba Ba Boom! (4,8%, blonde, houblon Crystal), Kapow! (5,5%, IPA, houblon Citra), Wham! (American Pale Ale, houblon Cascade), Kersplat (blanche, houblon Centennial), Zonk! (American amber, houblon Chinook) ainsi que la Thawack! (Black IPA, houblon Columbus).
Se distinguer par l’amertume
Brasée par le belge De proef brouwerij, La Marise est pour sa part une pale ale, blonde à fermentation haute, titrant 5,2°. En vente depuis peu à Paris, certains restaurants de la capitale la proposant par ailleurs à la dégustation, elle se caractérise par une amertume prononcée et une grande longueur en bouche. Cette nouvelle bière souhaite s’imposer rapidement dans un paysage chargé.
Le bio comme cheval de bataille
Black Isle Brewing se positionne quant à lui comme le premier brasseur biologique de Grande-Bretagne. Basé près d’Inverness (Ecosse), il commercialise 12 bières, fruit d’un développement démarré en 1998. Soucieuse de cultiver son image écologique, l’entreprise précise même qu’elle « possède sa propre vache, Molly, qui mange du malt et donne 20 litres de lait frais crémeux tous les jours ! »
Franck Stassi (Business & Marchés)
mars 20, 2015 at 12:10 am
Vous êtes serieux HBT ???
Quelle est l’originalité de ces produits ? La Parisienne est la 3eme brasserie arrivé à Paris intra-muros, 5eme si on compte les brewpubs Frogs et O’Neil…
J’ai pas compris ou était l’originalité de La Marise dans la description. Peut-être dans cette phrase « La Marise est pour sa part une pale ale, blonde à fermentation haute, titrant 5,2° » ?
Pour les frogs, l’originalité est dans le nom des bières…
Allez, why not pour la brasserie écossaise si c’est la première à faire du bio en Ecosse.
Sérieusement, des fois vos articles manquent de pertinence. Qu’il y ai au moins un rapport entre le titre et le contenu, on se croit sur un site cherchant le clic et pas la qualité
mars 20, 2015 at 4:11 pm
C’est vrai que dans Paris intra muros La Parisienne est loin d’être « originale ».
mars 20, 2015 at 8:38 pm
C’est vrai que pour des connaisseurs ce n est pas très originale !Mais quand on regarde le marché globale ces acteurs sont originaux Comme beaucoup de brasseries artisanales. Je te trouve sévère avec hbt il y a plein de très bons articles et quand bien même ils cherchent le clique si ça leur permet d’exister et de transmettre toutes ces infos pertinentes moi ça ne me dérange pas ! Ce qui me dérange par contre c’est de voir ces mecs plein de tunes (la parisienne) prendre le créneau du marche la bière par ce que c est tendance ! J’aurais aimé que ce soit des passionnés…