Dans les coulisses de l’abbaye d’Orval
Aller visiter une brasserie à 9h du matin, ce n’est pas courant. Mais quand il s’agit de se rendre à l’Abbaye d’Orval, le réveil se fait plus facile et dans la bonne humeur.
Une fois par an, la brasserie trappiste ouvre ses portes au public et il vaut mieux être rapide pour s’inscrire.
Quelques mots clés sur la fabrication : malts pâle et caramel, ajout de sucre candi, utilisation de houblons en fleurs pour le dry-hopping, ajout de levures brett dans les bouteilles (ce qui lui donne sa légendaire capacité de veillissement).
Petit conseil : pensez à goûter le petit Orval (ou Orval vert) disponible uniquement à l’auberge L’Ange Gardien. Cette bière, réservée initialement à l’usage des moines, est une véritable merveille et vous pourriez facilement la préférer à la « normale ». Moins de sucre, un houblonnage juste parfait, légère, tout simplement divine !
Vous verrez sur la photo ci-dessus qu’on trouve des plants de houblon dans le jardin de l’abbaye, mais juste à titre d’exemple bien entendu. Le petit musée sur le site vaut également le détour.
Voici une petite vidéo de notre visite :
Pour en savoir plus sur l’Orval, voir notre podcast sur la légende de l’abbaye.
Savez-vous également que la brasserie Orval est la plus jeune des abbayes trappistes belges ? Voir l’histoire des bières trappistes.
Essayez l’Orval
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octobre 1, 2014 at 2:48 pm
« utilisation de houblons en fleurs pour le dry-hopping » parce que l’Orval est produite en dry hopping dans sa version classique ?
octobre 1, 2014 at 2:51 pm
Oui
octobre 1, 2014 at 4:51 pm
Génial !
octobre 2, 2014 at 10:45 am
depuis quand ?
octobre 2, 2014 at 1:11 pm
Depuis toujours.
octobre 2, 2014 at 1:15 pm
ah oki c’est moins flagrant que pour la dry saison dupont par exemple